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Réflexions sur un réchauffement

Dernière mise à jour : 27 sept. 2021

Années 2018-2019


Grande préoccupation en ce début du 21ème siècle que le réchauffement climatique !

On observe ses effets en divers endroits de la planète : fonte des glaciers et banquise, désertifications et d’autres phénomènes dont il est la cause … ou pas.

Cette variation climatique a, comme celles du passé, des implications sur les écosystèmes et les prévisions les plus pessimistes foisonnent à tort ou à raison.

Toutefois pour moi l’alarmisme actuel est disproportionné et cette peur implique des contraintes politiques et financières irraisonnées basées sur des théories douteuses aux conclusions incertaines.


'' La peur est de tous les maux, celui qui obscurcit le plus le jugement ''

Henri de Gondi, dit le Cardinal de Retz, (1572 - 1622 )


Ce phénomène climatique de réchauffement n’est pourtant pas nouveau. Il a varié à travers les siècles et les millénaires, même si, cette fois, il peut paraître plus intense ou plus rapide. Les données datant de plusieurs centaines de milliers d’années ne sont pas là pour comparaison, et qu’est-ce que cent mille ans dans l’histoire de la planète !


D'autres interprétations existent et surtout d'autres manière d'appréhender les observations scientifiques et de ne leur faire dire que ce qu'elles apportent.

C'est ce que recherchent les personnes qui se définissent comme climato-réalistes .

Ils refusent d'absorber sans réfléchir les conclusions, imposées à toute la planète par le GIEC , à partir du brassage des relevés et études scientifiques sur-multipliées et surtout choisies ces dernières années.

Ils s'interrogent sur le fait de les mélanger in-fine dans les mixers informatiques farcis de modélisations mathématiques, accouchant des conclusions incertaines et variables au gré des doses injectées.

L' écologisme des climato-alarmistes, Don Quichotte du climat , a mis en coupe réglée l’explication et les solutions à apporter d’urgence pour ‘’ sauver la planète ‘’.

D’ une subjectivité intransigeante, sûrs de leur fait, ils ont décidé une fois pour toute que les hommes étaient responsables, à 97% des variations climatiques et donc du réchauffement.

Issus principalement de la caste privilégiée, imprégnée de morale judéo-chrétienne, leur credo impose toutes sortes de repentir. De la pénitence énergétique à l’abstinence véganiste, elle passe bien sur par culpabilisation devant les dégâts de tempêtes ou d' inondations.


Leur justification scientifique n'est plus requise , elle est devenu un dogme .

Celui qui la remet en cause ou relativise les phénomènes météo est considéré comme un paria de l'écologie, un danger pour la planète.

Le matraquage médiatique écrasant, pénalisant et incontournable est l’exemple d’une forme de dictature de la pensée politico-correcte. Il impose sa vérité subjective basée sur des interprétations scientifiques sujettes à caution où pour le moins à discussion, tant la complexité du sujet est grande et les connaissances incertaines.

Redistribuer l’argent aux pays pauvres qui seraient victimes du réchauffement. On sait bien que la plupart du temps ces peuples sont bien plus victimes des politiques de leurs dictateurs et de la corruption acceptée par les castes dirigeantes.


L’aboutissement de cela, manipulé avec le plus grand sérieux par les politiques soucieux d’être de bon ton écologique, de préserver leurs électeurs enfumés par les vapeurs bio, est passé par les COP 21, 22 , 23 etc ... , qui deviennent la grande farce de ce début 21éme siècle .

La phrase ‘’ Il faut sauver la planète ‘’ prise telle quelle est d’une stupidité à pleurer car il est certain, et personne ne le nie, que la planète existera encore des millions et des millions d’année après que l’espèce humaine aie disparue, qu’elle sera florissante et riche de nouvelles espèces animales et végétales. Voire de nouveaux hommes ? Tout est possible…


Ce qu’il faut comprendre et répéter c’est bien sûr ‘’ sauver l’humanité ‘’. Non pas du climat mais de la manière dont l’humanité est gérée sur cette planète si grandiose et pourtant si petite au regard du système solaire, de la Galaxie, de l’Univers.

Le constat est tellement négatif sur la gestion, ou plutôt de la non-gestion, actuelle de notre humanité ! Disparités sociales criantes, guerres, nationalismes exacerbés, rancœurs tenace entre ethnies de même pays , délire fascisant d’intégristes religieux , radicalisme, génocides, racisme, égoïsmes nationalistes, capitalisme outrancier, supranational, pillant sans complexes les pays et les populations les plus pauvres. La liste n’est pas complète …


Ces aberrations du comportement humain, dont on connait au moins les causes, les responsabilités et les leviers d’actions , ont de quoi nous alarmer et nous préoccuper constamment , bien plus qu’un réchauffement climatique dont on ne connait que trop partiellement le sujet pour pouvoir en donner les solutions définitives et dont on pourra au pire toujours s’adapter.


Balayons d’abord devant la porte de nos dignités avant de prétendre balayer les lois de l’Univers.


Au grès des lectures

J'ai découvert ce livre de Véronique Anger LA DERNIERE CROISADE "Des Ecolos aux écolomaniaques ! " Nov 2009 . Ed. L'Arganier

Très bonnes réflexions dans ce livre qui explique très bien , et mieux , ce que j'ai essayé d'exprimer ci dessus

J'aime ces deux réflexions :

- L'essai de Sylvie Brunel : « Toutes ces idées qui nous gâchent la vie » (JC Lattès), commenté par le magazine en ligne Atlantico et par le site science-climat-energie.be

La question n’est pas de savoir quelle planète nous allons laisser à nos enfants, mais de nous demander quels enfants nous allons laisser à la planète si une vision erronée de la nature et de l’humanité devient la norme


- L'essai  de Bruno Durieux « contre l'écologisme, pour une croissance au service de l'environnement » (Ed de Falloix), commenté par Roger-Pol DROIT dans Les Echos

L'écologie est indispensable. Pour être efficace, elle exige la croissance. L'écologisme, sectaire et fanatique, professe l'inverse


Septembre 2021


J'ai entendu, lors de son débat avec Zemmour, Mélenchon dire que ce qu'il craignait le plus pour la France en 2050 était de voir Dunkerque et la Camargue sous l'eau et ainsi relancer avec aplomb son projet de transition énergétique basé sur cette peur écolo-carboniste d'élévation de plusieurs mètre de la mer dans les 30 ou 40 prochaines années . Ils disaient déjà cela dans les années 80 et 40 ans après on constate que le niveau des mers et océans a à peine bougé , quelques centimètres peut être , dérisoires par rapport aux marées et variations naturelles et régulières de la houle .


Comment un homme Politique et son parti peuvent construire un projet basé sur la peur ! ?


Peur liée bien sur , au réchauffement climatique qui a bon dos pour justifier toutes les catastrophes météorologiques de ces derniers temps . Ces catastrophes ayant eu lieu aussi bien 1000 ou 10000 ans plus tôt , sauf qu'à cette époque elles étaient moins mortelles.

En effet les hommes - moins nombreux - ne construisaient pas juste au bord des océans , au bord des fleuves impétueux dans les pentes de montagne ou sur la route des ouragans . Avoir sa maison ''les pieds dans l'eau '' grand rêve de vacanciers , suppose qu'effectivement on est sous le risque de variations brutales, épisodiques, des déchaînements d 'un océan large de 5000 km , de tempêtes , de grandes marées et d'orages combinés qui ont pour résultat la catastrophe par exemple de La Faute-sur- Mer .

Cela pouvait être prévu et il est prévisible qu'il y en aura d' autres , que le climat se réchauffe ou pas.



d'


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